20 octobre 2007
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Je sais que je suis à la bourre sur ce coup-là, mais je viens de m'acheter la première saison de Prison Break. Je ne l'avais pas vu à la télé parce que M6 passe super-mal à la maison et même la TNT refuse de détecter cette chaîne. Habituellement, ça ne me manque pas beaucoup, mais là, il semble que j'ai raté quelque chose.
Du coup, j'ai commandé la saison 1 sur Priceminister et j'ai commencé de la visionner.
J'avoue que la surprise a été bonne. Le scénario est inventif, plein de rebondissements et les scènes dures sont suffisamment élusives pour que le spectacle n'en soit pas rendu insupportable. On découvre un univers carcéral américain dur avec des scissions raciales très marquées
En deux mots, Michael Scoffield décide de se faire emprisonner pour libérer son frère qui doit être très prochainement condamné à mort. Il est persuadé de son innocence et il use de toute son intelligence pour mettre sur pieds un plan d'évasion. Afin de l'avoir constamment sur lui, il fait tout tatouer sur son corps le plan de la prison.
Vous imaginez bien que rien ne sera simple et en plus, il s'entichera de l'infirmière du pénitencier.
Si on excepte la musique française du générique (un rap viril et ridicule de Faf la rage) et des allusions omni-présentes à la religion, on est transporté dans un univers inconnu et fascinant et on attend la suite avec impatience. D'autant plus que chaque épisode s'achève sur un cliffhanger insoutenable.
A voir ou à revoir.
Dominik
Du coup, j'ai commandé la saison 1 sur Priceminister et j'ai commencé de la visionner.
J'avoue que la surprise a été bonne. Le scénario est inventif, plein de rebondissements et les scènes dures sont suffisamment élusives pour que le spectacle n'en soit pas rendu insupportable. On découvre un univers carcéral américain dur avec des scissions raciales très marquées
En deux mots, Michael Scoffield décide de se faire emprisonner pour libérer son frère qui doit être très prochainement condamné à mort. Il est persuadé de son innocence et il use de toute son intelligence pour mettre sur pieds un plan d'évasion. Afin de l'avoir constamment sur lui, il fait tout tatouer sur son corps le plan de la prison.
Vous imaginez bien que rien ne sera simple et en plus, il s'entichera de l'infirmière du pénitencier.
Si on excepte la musique française du générique (un rap viril et ridicule de Faf la rage) et des allusions omni-présentes à la religion, on est transporté dans un univers inconnu et fascinant et on attend la suite avec impatience. D'autant plus que chaque épisode s'achève sur un cliffhanger insoutenable.
A voir ou à revoir.
Dominik