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25 juillet 2013 4 25 /07 /juillet /2013 08:47

L'astronaute Storm est envoyé dans une mission très dangereuseStorm1.jpg afin d'explorer un énorme point rouge à la surface de Jupiter. A peine entré dans la zone, qu'il est pris dans un maëlstrom infernal qui le prive de sa conscience. Eveillé, il décide de rentrer sur Terre et la découvre bien changée. Les continents ont disparu et elle n'est plus bleue ! Une fois à la surface, il découvre un monde dans océan peuplée par des hommes plus ou moins retournés à la barbarie. Le redoutable Ghast le fera prisonnier et il s'échappera en compagnie de la jolie Red Hair et de son ami Kiley. Ensembles, ils découvriront comment la planète a perdu toute son eau et comment lui rendre tandis que Ghast les poursuit de toute sa haine.

Sur un scénario de Saul Dunn, on retrouve Don Lawrence, l'artiste anglais de grand talent. Chaque case est une véritable oeuvre d'art et les couleurs à la peinture directe n'y sont pas étrangères. Malheureusement, le récit reste trop standard. Pas inintéressant, mais loin du chef d'oeuvre graphique de son illustrateur. D'ailleurs, dans les volumes suivants, le scénariste changera à chaque opus.

 

Dominik

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24 juillet 2013 3 24 /07 /juillet /2013 08:21

Didier Porte était chroniqueur et humoriste sur France Inter Insupportable.jpegdans la Matinale ainsi que dans l'émission de Stéphane Bern : "Le Fou du roi". Ces chroniques étaient décapantes, acides, très drôles et férocement de gauche alors que Nicolas Sarkozy occupait la présidence de la république et choisissait lui-même les présidents de chaînes publiques aussi bien que certains journalistes politiques de radio ou de télé. Comme le nouveau président de France Inter, Philippe Val, avait justement été nommé par notre ami Sarko, il a cru bon de "nettoyer" sa grille des quelques irréductibles trublions de son antenne. C'est ainsi que Stéphane Guillon est passé à la trappe, mais aussi Didier Porte avec qui il partageait une chronique dans la matinale.

Didier Porte choisit de nous conter le mécanisme implacable qui a conduit à ce licenciement bien mérité comme le précise le sous-titre de l'ouvrage. On pourrait croire que ce livre est un foutu pamphlet ennuyeux et politique, mais bien au contraire. Porte parvient à nous rendre ses mésaventures passionnantes et parsème le tout de quelques chroniques qui nous rappellent ô combien il nous faisait marrer, pour peu qu'on ne soit pas lecteur du Figaro !

Au final, pas un chef d'oeuvre littéraire, mais un chronique sur la vie des médias sous Sarkozy avec une bonne dose d'humour pour se poiler au détour de chaque page. Merci l'artiste et à bientôt !

 

Dominik

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23 juillet 2013 2 23 /07 /juillet /2013 17:58

Blandine a perdu son fiancé archéologue alorsPerle.jpeg qu'il travaillait sur le site d'Aube-Croix, une forteresse médiévale. Elle décide de poursuivre ses travaux lors d'un stage d'été autorisé par Charles Cormier le propriétaire des lieux. Toutefois, les évènements se précipitent quand la jeune fille se retrouve avec au doigt, une bague ancienne qui se révèlera appartenir aux anciens habitants du chateau. Dès lors, les évènements prendront une tournure plus... fantastique, voire ésotérique.

Pour compléter l'ouvrage, on a diverses nouvelles courtes de l'auteure publiée notamment dans le Grimoire des Ombres.

J'ai rencontré Céline Guillaume lors d'un salon à la Chapelle Saint-André dans la Nièvre, région dont elle est originaire. On retrouve dans ses écrits des thèmes récurrents comme la réincarnation abordé d'une façon presque prosélithes qui m'a parfois gênée. Ceci dit, Céline est un écrivain de talent et ses textes sont très bien écrits et les ambiances posées avec beaucoup de réalisme.

Ce livre est un bon moyen de découvrir son univers.

 

Dominik

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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 18:33

J'ai rencontré Gilles Paris sur le salon de Saint Honoré les Bains et j'ai tout de suite été intrigué par le titre de son roman. Gilles n'est pas un auteur autobiographie-courgette.jpgprolifique. En moyenne, un roman tous les dix ans et à chaque fois, le même procédé narratif : il se coule dans la tête d'un enfant de neuf ans et raconte l'histoire à la première personne dans un style enfantin.

Courgette se prénomme en réalité Icare, mais il préfère son surnom hérité d'une insulte maternelle. Sa mère est handicapée suite à un accident de voiture et elle passe son temps devant la télévision à boire des bières. Son père est parti avec une "poule" faire le tour du monde. Courgette passe son temps à éviter les coups et les engueulades jusqu'au jour où il découvre un pistolet dans les serviettes de la maison. Il décide de tuer le ciel, responsable, selon sa génitrice, de tous les maux de la terre. Il tire deux coups en l'air avant que sa maman vienne pour lui enlever son arme. Seulement, un coup malencontreux le transforme en orphelin. Il est alors conduit dans un orphelinat où il croisera Simon le fanfaron, Jujube le gourmand hypocondriaque, Ahmed le pleurnichard et bien d'autres, mais surtout Camille, jolie comme un coeur qui ravira le sien.

Entre la vie de ces exclus de l'amour parental, leur pensionnat et les "zéducateurs" plus ou moins sympathiques, Raymond le gentil gendarme, l'auteur nous convie à une chronique enfantine des plus touchantes, parsemée d'anecdotes plus ou moins inspirées de son séjour dans un établissement similaire pour s'imprégner de l'atmosphère. L'édition Flammarion nous propose une interview de l'auteur, une présentation du livre et quelques bonus plus ou moins didactiques pour les collégiens. C'est aussi une édition illustrée par Charles Berberian dans un style qui n'est pas sans nous évoquer le Sempé du Petit Nicolas.

 

Dominik

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12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 18:41

En 1944, la guerre étend ses derniers mois sur la France et notamment à Heros_couv.jpgEgriselles-le-Bocage près de Sens. Louis Thirion, un gamin de 17 ans, voudrait que chaque citoyen se transforme en résistant contre l'Occupant. En désespoir de cause, il décide d'agir lui-même. Sa cible : un garagiste trop bienveillant avec les Nazis. Avec deux copains, il glisse des clous dans sa porte pour la bloquer. Cette mauvaise blague dégénère quand un officier allemand se voit dans l'impossibilité d'y pénétrer. En guise de rétorsion, il demande au maire du village de dénoncer les "terroristes" et prend en otages trois habitants au hasard en menaçant de les exécuter si le coupable ne se dénonce pas.

Sur un fait historique réel, Rémi Couvignou nous trace un récit prenant où les Allemands ne sont pas tous des nazis sanguinaires et les Français de bons résistants de la première heure. On découvre de nombreux éléments de la vie quotidienne de l'époque à travers un paysage qui ne m'est pas complètement étranger. C'est le premier livre de la collection "Romans d'Yonne" que je découvre. J'avoue que j'ai connu un agréable moment de lecture, même si j'ai parfois regretté que l'auteur s'attarde sur certains détails me paraissant annexes. Ce roman mêle habilement l'Histoire et l'aventure. A découvrir.

 

Dominik

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26 mai 2012 6 26 /05 /mai /2012 09:33

Dimanche, je serai au festival BD de Montargis. Montargis2012.jpg

Bien que je ne sois pas un grand chasseur de dédicaces, je vais y faire un tour pour rencontrer Philippe Luguy pour l'inviter au salon Le Mont des Bulles de cette année, mais aussi voir l'exposition qui lui ait consacré ainsi qu'une autre dédiée aux auteurs français oubliées de 1945 à 1965. Ayant discuté avec Arnaud Floch l'organisateur, j'ai compris qu'il s'agissait de planches originales de grands anciens qui n'ont pas eu la chance de rencontrer la célébrité et la richesse. Je sais par exemple qu'il y aura des planches réalistes de Cézard réalisées pour Aventures & Voyages (Mon Journal).

 

En plus des 6 libraires présents sur place (dont mon ami Jean-Claude Bertrand), il y aura pas moins de 30 auteurs dont : Robin Walter, Eric Ivars, Philippe Aymond, Daniel Casanave, Fred et Greg Salsedo, Olivier Thomas etc.

 

Vous trouverez plus d'infos sur le site du festival : http://edition2012.montargiscoincelabulle.com/


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26 mai 2012 6 26 /05 /mai /2012 08:53

En rentrant hier soir du boulot, j'ai eu la délicieuse surprise de découvrir un livre UNIQUE intitulé : "La merveilleuse histoire des éditions ROA" par Laurent Lefeuvre.EditionsRoa.jpg

Oui, notre société médiatique use et abuse de ses qualificatifs présomptueux, mais là, il est bel et bien mérité. Sous un format de 17 x 23 cm avec un dos toilé, nous avons droit à 128 pages (un clin d'oeil au sujet abordé ?) d'encyclopédie  sur les mythiques éditions ROA spécialisée dans les BD petits formats. Vous me direz, un livre sur les PF, il en existe d'autres. Thomassian a lancé le mouvement, Pierre Caillens en a commis d'autres et j'ai moi-même fauté avec mon "BD de kiosque et Science-Fiction". Non, celui-ci est vraiment unique parce que, bien que possédant environ 20 000 petits formats, je n'en ai aucun de cet éditeur. Comment cela se peut-il ?

Un embryon de réponse se trouve dans le blog d'Alain Chevrel, le compère (?) de Lefeuvre dans la rédaction de cet ouvrage. Certains amateurs l'ont déjà suivi avec passion. Pour tout ceux qui auraient raté ce magnifique coup de projecteur sur l'album "Tom et William" du même Lefeuvre, je m'explique : les éditions ROA n'ont jamais existé ! A moins que dans un monde parallèle, ce ne soit le cas ou pire : que nous soyons dans un univers dissident où on ne peut pas trouver ces BD. Et c'est bien dommage...

L'ouvrage passe en revue l'ensemble de la production de ROA dont le scénariste vedette John King (alias Jean Roy) est le quasi-unique auteur. Tous les genres sont abordés : guerre (sergent Gachette), moyen-âge (Chevalier Panache), Science-Fiction (Gorak, Le Survivant), Tarzanides (Zanthar, Tamulah, Fantastique (Fakir Dotki, Les Monstrés), piraterie, (Skull le pirate, Drakkar), BD pour filles (Vanessa, Elise...), Super-héros (Cosmiman, Action...), Western (Saloon, Jim Colt, Indiens)couv-guerre1.jpg, espionnage (SOS 117), karaté (Krikitu).

On sent la jubilation à chaque page où le profane se régalera des magnifiques couvertures délicieusement kitsch où chaque détail est bien vu. Ainsi, on découvre une vignette Panini collée sur un Chevalier Panache ou des noms au stylo sur bon nombre de fascicules, sans oublier les inévitables étiquettes de prix ou les bords abîmés.

Chaque titre rappelle des revues existantes, mais c'est justifié par le fait que John King copiait allégrement tout ce qui marchait par ailleurs. Une technique relevant de la plus exacte vérité éditoriale.

L'ouvrage est parsemé de références et de clins d'oeil. Ainsi un titre est nommé Zaïtchick, un pseudo de dessinateur de comics bien connu. Le nom des dessinateurs de Roa sont aussi autant de référence; Ainsi Terry Stillborn n'est autre qu'un des pseudos de Thierry Mornet ou encore Jean Matton (Jean-Yves Mitton) prenant un pseudo italien pour dessiner du western !

L'ensemble n'est toutefois pas qu'un gigantesque canular. Il est bourré de références exactes à des auteurs, des bandes existantes données en exemple ou à titre de comparaison à la production Roa. On notera aussi avec délice tous les poncifs, les travers de ces fascicules qu'on aime tant mis en exergue par un auteur de BD qui signe ainsi une véritable déclaration d'amour.

Cerise sur le gateau, c'est François Corteggiani, grand scénariste s'il en est et amateur de PF, qui signe la préface avec tout l'humour qu'on lui connait.

Un livre jubilatoire à plus d'un titre. Merci Laurent Lefeuvre.

 

Dominik

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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 09:56

Barbara Moreau est "Gadine" et elle nous raconte comment elle Tags : Barbara Moreau, Gadine, prof de français, éducation nationale, maladie, spectacle vivant, place du marché à Sens, salon du livre de Sens, livre, éditions Kikébab, je pars et je vous emmène, conteuse de mémoirea hérité de ce surnom auprès de son grand-père qui ne lui prêtait guère attention. Barbara a quitté son poste de prof de français dans l'éducation nationale suite à une grave maladie. Elle a décidé de se lancer à corps perdu dans le spectacle vivant et je vous invite à la découvrir. Son prochain spectacle aura lieu samedi 9 juillet sur la place du marché à Sens à 16h00. Il est gratuit, mais chacun donne ce qu'il veut à l'artiste à la fin de la représentation.

J'ai recontré Barbara au salon du livre de Sens où je lui ai acheté son premier livre racontant ses débuts dans cette nouvelle vie. Je suis justement en train de le lire et je vous en parlerai donc bientôt.

Si vous passez par là, n'hésitez pas...


Dominik

 

Plus d'informations sur le site des éditions Kikébab : http://kikebab.e-monsite.com/

 

Tags : Barbara Moreau, Gadine, prof de français, éducation nationale, maladie, spectacle vivant, place du marché à Sens, salon du livre de Sens, livre, éditions Kikébab, je pars et je vous emmène, conteuse de mémoire

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20 décembre 2010 1 20 /12 /décembre /2010 08:26

Voici la suite des aventures de Harlan Draka le chasseur de vampires. Comme d'habitude, nous avons droit à deux épisodes de la série originales, soit rien moins que 192 pages de bande dessinée en noir et blanc.Tags : Dampyr N°11, Bonelli, Clair de Lune, Encre de Chine, BD, Bande dessinée, fumetti, manga, vampire, sorcière, Harlan Draka, Tesla, Kurjak, Omulu, Vathek, Afrique du Sud, Namibie, racisme, noirs, blancs, police, Prague, Nikolaus, Amsterdam, cinéma, chevaliers teutoniques, Vlad Tepes, Dracula, Roumanie, Transylvanie, Bram Stoker, Prague, Nicola Genzianella, Maurizio Dotti, Stefano Andreucci, Lord Byron, Mary Shelley, Percy Shelley

La lumière noire

Cet épisode commence à Marrakech. Dans les années 1950, cinq écrivains ont conclu une sorte de pacte avec le Diable. En fait, le Diable était un démon appelé Kyazar venu d'une autre dimension et il leur a donné un talent immense. Il était gardé prisonnier, mais il réussit à se libérer et il veut avant tout se venger.

A Pragues, Caleb parvient à faire venir les cinq auteurs et leur adjoint Harlan Draka pour les aider. Il faut qu'ils retrouvent Mulawa, le sorcier qui a attiré Kyazar. A moins qu'il ne soit déjà mort...

La milice de l'ombre

En Colombie, les cartels de la drogue se combattent férocement, mais un jour, un maître de la nuit intervient et transforme l'un des caïds en vampire. Les cartes sont redistribuées et les concurrents commencent à avoir très peur. Les rumeurs qui circulent attirent Harlan Draka. Il se lie d'amitié avec un flic local et entre dans la danse...

Une fois de plus, le scénario est de Mauro Boselliet on retrouve avec plaisir la talentueux Nicola Genzianella qui nous enchante une fois de plus. Ce sont les épisodes 19 et 24 de l'édition originale.
N'hésitez plus à découvrir Dampyr !


Dominik


Dampyr N° 10

Dampyr N°9


Dampyr N°8

Dampyr N°7

Dampyr N°6

Dampyr N°5


Dampyr N°4

Dampyr N°3

Dampyr N° 2

Dampyr N°1

Tags : Dampyr N°11, Bonelli, Clair de Lune, Encre de Chine, BD, Bande dessinée, fumetti, manga, vampire, sorcière, Harlan Draka, Tesla, Kurjak, Omulu, Vathek, Afrique du Sud, Namibie, racisme, noirs, blancs, police, Prague, Nikolaus, Amsterdam, cinéma, chevaliers teutoniques, Vlad Tepes, Dracula, Roumanie, Transylvanie, Bram Stoker, Prague, Nicola Genzianella, Maurizio Dotti, Stefano Andreucci, Lord Byron, Mary Shelley, Percy Shelley

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19 décembre 2010 7 19 /12 /décembre /2010 18:08

Clair de Lune continue de nous faire (re)découvrir Diabolik, le premier Fumetti Neri. Ce numéro 6 fait 190 pages dont 170 de bande dessinées. On revient sur Eva Kant et un épisode qui changera ses relations avec son amant. L'histoire est issue de Grande Diabolik N°17 : "Eva Kant : gli occhi della pantera" éditée en 2008.Diabolikcdl6.jpg

Eva Kant : les yeux de la panthère

Au début de leur relation, Diabolik a tenté d'étrangler Eva Kant car il estimait qu'elle l'avait trahie. A cette époque, il agissait surtout seul, sa compagne n'étant qu'un supplétif occasionnel. Cet épisode va marquer une rupture dans leur relation. Dès lors, Eva sera plus présente, presqueà égalité avec son alter ego, mais avant cela, il y a l'histoire qui suit...

Dans une vente aux enchères, Morvan et Ronson se disputent une toile du peintre disparu Giacomo Klever. C'est finalement Ronson qui l'emporte, non sans que son adversaire malheureux le menace en public. C'est pourquoi lorsque la toile est dérobée, il est immédiatement suspecté. Quand on retrouve l'arme d'un des voleurs chez lui, il est aussitôt envoyé en prison. Pourtant, Diabolik ne croit pas à cette version des faits. Il décide d'aller vérifier chez Ronson. Il découvrira en effet une vérité bien différente, mais surtout il mettra le pied dans un souvenir d'Eva concernant une autre toile de ce peintre maudit. Un souvenir encore douloureux.

Une histoire imaginée par Mario Gomboldi et Tito Faraci et dessinée par Pierluigi Cerveglieri et Giuseppe Palumbo. Si l'intrigue est magniquement construite, je trouve que le dessin est un peu froid à mon goût.

 

En dehors des BD, on a aussi droit à des articles sur Eva Kant et les soeurs Giussani, créatrices de Diabolik tout à fait intéressants.

Dominik


Tags : Diabolik, Clair de Lune, Astorina, fumetti Neri, Grande Diabolik, inspecteur Ginko, Eva Kant, Altea, Sergio Zaniboni, Paolo Zaniboni, Alfredo Castelli, Mario Gomboldi, Patricia Martinelli, bande dessinée, bd, album

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  • : Little Brother : Des livres et vous !
  • : Dominik Vallet chronique des livres et des BD, montre des planches originales, des dessins humoristiques et parle un peu de sa production personnelle...
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